Au préalable, je crois devoir prévenir que ce billet risque de dénoter avec l'atmosphère qui se dégage generalement de ce blog et de ses modestes billets.
Aussi, n'hésitez pas, si vous craignez d'être choqué, passez votre chemin, ne vous croyez pas obligé de m'insulter avec un commentaire graveleux que je serais obligé de supprimer, non pour moi mais pour les éventuels lecteurs suivants. Et cela, même si vous êtes en désaccord total avec mes écrits, même si quelques mots vous font rentrer dans une rage folle, même si vous me trouvez tellement ignare que vous avez une envie irrésistible de me le dire avec vos mots teintes d'une méchanceté pas toujours excusable.
Tout ça pour dire que j'ai subit récemment une modeste série de commentaires plus que désobligeants qui, au delà des motivations bien incertaines, m'a confirmé que le bien vivre ensemble, ce n'était pas gagné.
J'ai lu récemment une citation de Dostoïevski qui faisait dire en gros à un de ses personnages "plus j'aime l'humanité en général, moins j'aime les gens en particulier", comme j'ai appris, par ailleurs, qu'il était considéré comme un gentil antisémite de salon, j'ai pensé que cela n'allait pas m'aider dans mon exposé.
Pourtant, toute la problematique pourrait se résumer dans cette citation. A l'opposé, Le Pen, préfère sa fille à sa cousine, sa cousine à son voisin, son voisin à ....etc. L'extrême droite ajoute à mon probleme du jour la notion de proximité sentimentale ou territoriale. Tout ça est extrêmement basique et je vais enfin tenter d'exprimer en premiere approche ce que je pense de ce beau concept du vivrensemble (sans aucune ironie de ma part)
C'est un beau projet qui devrait nous occuper encore de nombreuses dizaines d'années, pour ne pas dire un bon siècle.
Je ne vais pas être très politiquement correcte donc je ne serai pas long pour ne pas tomber dans la caricature.
Il y a deux difficultés majeures avant d'espérer mieux vivrensemble.
La première est liée à la religion. Bien entendu, celle qui est en plein "boum" (c'est de l'humour)en ce moment est le problème majeur. Les musulmans qui ont l'ambition d'être les adeptes d'une religion de paix et d'amour, ne sont pas prêts d'avoir les clés pour réussir leur intégration. D'abord, il serait souhaitable qu'ils comprennent enfin que la religion, c'est mieux dans la sphère privee, qu'il est inutile d'essayer d enrôler d'autres brebis, le prosélytisme doit être supprimer de leur logiciel. On peut tolérer tous les signes ostentatoires qu'ils veulent, tous les voiles qu'ils créent mais il faut bien qu'ils aient en tête que cela nous fait chier, vraiment. Afficher d'appartenir à une religion dont des extremistes tuent en son nom des enfants et des innocents comme jamais depuis des siècles, devrait poser problème. Ils seraient bien gentils de réfléchir à ça rapidement, sachant que la grande majorité se fout de la religion. Nous sommes des millions d'athées ou d'agnostiques qui ont juste l'ambition de vivre tranquillement dans une république libre et laïque, et ce pour le bonheur de tous.
La deuxième est liée à la ségrégation, territoriale évidemment.
La question des quartiers dont certains sont devenus de vrais ghettos depuis longtemps est essentielle.
Deux ecueils doivent être evites, les subventions à tout va qui auraient l'efficacité du liquide dans le sable, d'un côté, et l'oubli simple et définitif, de l'autre.
L'éducation nationale doit redevenir le socle des fondements de notre société et de chaque construction individuelle, partout mais encore plus dans les quartiers prioritaires.
Pour reussir le vivrensemble (nous n'avons pas le choix) , il faudrait éteindre l'islam au sens fondamentaliste, des religions discrètes, de l'inventivité et de la solidarité....
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C'est très rafraîchissant : on a l'impression que vous n'avez jamais cessé d'avoir treize ans et demi.
RépondreSupprimerVous me l'avez déjà fait celui la.
SupprimerComme quoi vous êtes constant. C'est bien, enfin c'est déjà ça.
pour moi le demi n'est pas nécessaire mais dans votre tête ça doit avoir une signification bien précise. En tout cas il vaut mieux avoir 13 ans et demi que 85 ans. Ca donne quelques belles années devant soi de vitalité et de vigueur qui ne seront pas négligeables pour qui saura en profiter. Bon moi je dirai plutôt 20 ans qui est le plus bel âge, l'âge de l'insouciance, du bonheur et de l'amour. L'amour de soi d'abord, on s'aime beaucoup à cet âge, et l'amour des autres ensuite. Mais je pense que ces mots là ne vous parlent pas, il n'y a qu'à voir les méchancetés que vos doigts frappent sur le clavier et que vous dispersez au fil de vos pérégrinations sur les blogs. Vous pouvez dire que l'anonyme est bête et inculte, ça aussi c'est déjà dit donc ça ne m'atteindra pas plus que ça, économisez vos forces Monsieur, à 85 ans et demi ce serait plus raisonnable.
RépondreSupprimerOui, c'est vrai, il est bien plus vieux que moi, même si nous avons été durant une courte période en classe ensemble. En realite, il avait déjà du retard...
SupprimerMerci