Difficile de commenter les heures que nous vivons, difficile d'ajouter l'émotion à la tristesse infinie, difficile de stigmatiser encore un peu plus cette ultra minorité qui n'adhère pas à cette nouvelle unité nationale, difficile de juger les prestations des uns ou des autres dans un moment où les calculs disparaissent, où les stratégies politiques se diluent, difficile de croire que Paris est devenue la capitale internationale avec la présence aussi improbable de certains chefs d'Etat, difficile de se remettre de tout ça...
Mais c'est vrai j'ai bien marché. Doublement car dès vendredi, il a bien fallu tracter, élections départementales obligent (la vie continue et doit continuer du bon côté). Alors j'ai bien marché, mais aussi bien applaudi, bien piétiné, bien pédalé (il fallait bien s'y rendre), et je me suis bien recueilli, serré, trop serré car je n'étais pas seul ...tu es des millions Charlie.
Alors, au beau milieu de cette foule gigantesque dans laquelle des vagues d'applaudissement montantes qui se répondaient d'un côté de la rue, à l'autre côté de la place, etaient véritablement impressionantes, au cœur cette foule donc, je pensais à cette citation d'Oscar Wilde qui disait à peu près " lorsque les gens sont d'accord avec moi, j'ai le sentiment de me tromper".
Et puis je suis revenu, j'ai lu quelques conneries. Ouf ! il y en a encore quelques uns qui n'ont toujours pas compris.
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Bonjour Didstat,
RépondreSupprimerJe vous lis.
Ouf, merci
SupprimerOui. Je vous lis et je vous relis. Et même re-relis.
RépondreSupprimerBon, vous avez le droit de faire autre chose, je comprends.